LE RITUEL DE LA TRANSHUMANCE

Mon amour des bergers

La collection Mon amour des bergers dévoile une série de broches. Inspirées des parures florales visibles lors des transhumances, ces colliers floraux aux croyances prophylactiques étaient à l'origine façonnés par les bergers afin de protéger le troupeau du mauvais sort et des maladies. CAZALENS propose de renouer avec cette croyance en travaillant des parures à porter au quotidien.

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le patrimoine des bergers

La Pastorale

Comment faire correspondre les outils et filières pastorales actuels avec les imaginaires pastoraux ? Le projet propose de valoriser le patrimoine pastoral à travers une collection d'accessoires de maison inspirée de l'héritage graphique des gravures des bergers.

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Les traditions camaguaises

Mon dimanche en camargue

Cazalens célèbre la Camargue au travers de la collection Mon dimanche en camargue. Territoire à l'environnement exceptionnel notre maison s'inspire de ses paysages ainsi que de ses traditions porteuses d'une identité unique jouant de lien intergénérationnel aux camarguais.

Mon dimanche en camargue propose une collection de bijoux en argent massif s'inspirant de ces groupes de chevaux, de taureaux vivants en liberté au coeur des marées salantes sous le soleil méditerranéen entre mer et terre. A travers cette collection, CAZALENS souhaite rendre hommage aux paysages camarguais.

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“Le dimanche matin, les ménagères des petits villages font de la soupe à la tomate. Des tomates coupées en deux et nettoyées des graines- appropriées, comme elles disent-, de l’eau, une burette d’huile, une friture d’oignons fins. Tout ça sur la marmite de terre sur le feu. Quand arrive onze heures, toutes les marmites se mettent à bouillir et le village tout entier sent la soupe à la tomate. Le berger est arrivé au matin, et tout lourd de fatigue et de poussière, il se repose sous les platanes. Cette odeur de soupe à la tomate est pour lui l’odeur du dimanche, du beau dimanche où l’on a le jour libre, une maison, une table propre, une cheminée fraîche, lavée, bleue du bleu à la pierre et lavandée à la planche de l’armoire; du beau dimanche où l’on a sa ménagère prête à s’allonger contre soi, avec toute sa chair, où l’on n’est plus berger, ce marin de terre, ce coureur d’escale, cet errant… Tout ça en rêve, car le berger est seul sous les platanes et le village est à d’autres.”

Jean Giono, Le serpent d’étoiles, Editions Bernard Grasset, 1933

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